Harlequin

Synopsis
La carrière du jeune sénateur Rast s’apprête à prendre son envol. Tout irait pour le mieux si son fils n’était pas atteint d’une leucémie en phase terminale. C’est alors que, sorti de nulle part, un homme vient guérir l’enfant. Charlatan ou nouveau Messie ? Impossible de démêler la vérité sur sa personne, mais son invitation à entrer dans le cercle familial risque de provoquer des dégâts irréversibles.

Le cinéma australien arrive à transmettre une fois de plus avec brio l’immiscion du doute, du surnaturel, du fantastique, de manière d’abord homéopathique puis exponentielle chez le spectateur. Tout est parfaitement ajusté et dosé : Robert Powell, énigmatique et magistral, plus vrai que nature et donc déroutant, le scénario de Everett de Roche (également scénariste de Razorback, Long Week-End et Patrick), et la réalisation de Simon Wincer arrivent à fusionner une déchirure familiale, un contexte politique pourri et une descente dans le surréalisme sans qu’aucun élément ne prenne le pas sur l’autre de manière grotesque. Tout comme les personnages du film, personne ne peut rester indifférent devant “Gregory Wolfe”. Mais existe-t-il vraiment ? Qui tire les ficelles ?

Trailer

Photos