Dragon Gate, La légende des sabres volants

Synopsis
Chine, fin de la dynastie Ming. Yu, un eunuque sanguinaire, fait régner la terreur et cherche à éliminer tous ses opposants. Mais un groupe de rebelles, mené par le résistant Zhao, prépare la riposte...

Tsui Hark, c’est Dieu, et ça tombe bien car Dieu à retrouvé son mojo ces derniers temps.

Après un retour aux affaires fortement réussi avec Detective Dee, Tsui Hark s’attelle au remake de L’auberge du Dragon, monument de la littérature chinoise dont il avait déjà produit une adaptation dans les années 90.

Il retrouve pour l’occasion son partenaire de longue date Jet Li, avec qui il n’avait plus tourné depuis une vingtaine d’années. Pour cette occasion il ne fait pas les choses à moitié : budget conséquent d’une production chinoise destinée à l’internationale, casting quatre étoiles (Jet Li, Xun Zhou, Gordon Liu), décors et extérieurs majestueux et, pour la première fois de sa carrière, Tsui Hark s’essaye à la 3D

Pour qui connaît la carrière de Tsui Hark, l’idée de voir le maître s’essayer à la réalisation stéréoscopiques relève du fantasme … Et ce premier essai remet juste en perspective des années d’expérimentations dans ce domaine car dans ses mains, cet artifice rarement convenablement utilisé devient un outil puissant qui retournera le cerveau du spectateur.

Le film ne sera plus jamais proposé en 3D sur un écran de cinéma français, raison de plus de ne pas louper cette expérience.

Trailer

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