Speed F*cking

Synopsis
Suite à l’acquisition d’une mystérieuse potion déchaînant les pulsions sexuelles, un abominable pervers se rend dans un bar accueillant une soirée de speed dating.

C’est un réel plaisir pour les Hallus que de pouvoir convier aux festivités un court-métrage lyonnais et son équipe, en l’intégrant qui plus est dans une soirée où il sera parfaitement à sa place. Dans sa note d’intention, ALZ Films (pour A La Zob) revendiquait l’influence de Frank Henenlotter ou de Lloyd Kaufman. Quoi de mieux que de placer leur film entre Street Trash et Frankenhooker !? Symboliquement, cette projection intervient au moment où ALZ connaît une évolution importante dans sa jeune histoire: Speed F*cking est le premier film réalisé de façon professionnelle par cette bande d’anciens de l’ARFIS. Les structures changent, mais l’esprit reste le même: s’adonner joyeusement à un fantastique rentre-dedans, et continuer à fonctionner comme un véritable collectif, où chaque membre occupe un poste différent d’un projet à l’autre. Lyon devrait avoir à nouveau l’occasion de déguster leur gore qui tache dans les années à venir!


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